Archéologie amérindienne au Québec : intérêts divergents et collaboration fragile entre archéologues et communautés autochtones

Auteurs-es

  • Ségolène Vandevelde Département d'anthropologie, Université de Montréal, Montréal, Canada
  • Rémi Toupin Département d'anthropologie, Université de Montréal, Montréal, Canada

Mots-clés :

archéologie, communautés autochtones, ethnocentrisme, Sylvicole supérieur, permis de fouille, législation

Langue(s) :

Français

Résumé

Dans cette étude de cas fictive, un accord préalable aux fouilles est passé entre la communauté innue locale, le Ministère de la culture et de la condition féminine et une firme archéologique, dans le but de permettre le sauvetage d'un site daté du Sylvicole supérieur. À la suite de la découverte d'une sépulture, les conditions de l'accord ne sont plus réunies. Il s'agit ici d'un cas problématique dans l'archéologie québécoise, où les intérêts des différents acteurs se confrontent.

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Publié

2012-07-23

Numéro

Rubrique

Études de cas