“As Long As I’m Me”: From Personhood to Personal Identity in Dementia and Decisionmaking

Auteurs-es

DOI :

https://doi.org/10.7202/1077627ar

Mots-clés :

démence, prise de décision, droit, identité personnelle, propriété, compétence, capacité

Langue(s) :

Anglais

Résumé

Lorsque les personnes âgées commencent à souffrir de démence, nous sommes confrontés à des questions éthiques sur le moment et la manière d’intervenir dans leur processus décisionnel de plus en plus compromis. L’approche dominante en bioéthique pour relever ce défi a consisté à élaborer des théories de la « capacité de décision » fondées sur les mêmes caractéristiques qui donnent droit au respect des décisions des personnes morales en général. Cet article soutient que cette façon d’envisager le problème est passée à côté de l’essentiel. Parce que la disposition des biens est un droit dépendant de l’identité, ce qui compte dans la démence et la prise de décision est l’identité personnelle d’un individu avec son moi antérieur, et non son statut de personne morale. Par conséquent, pour savoir quand et comment nous devons intervenir dans la prise de décision des personnes atteintes de démence, nous devons nous tourner vers la philosophie de l’identité personnelle plutôt que de l’individualité.

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Publié

2021-06-01

Comment citer

[1]
Toomey J. “As Long As I’m Me”: From Personhood to Personal Identity in Dementia and Decisionmaking. Can. J. Bioeth 2021;4:57-69. https://doi.org/10.7202/1077627ar.