More Than a Biological Condition: The Heteronormative Framing of Infertility

Auteurs-es

  • Erika Maxwell Division of Community Health and Humanities, Faculty of Medicine, Memorial University, St. John’s, NL, Canada
  • Maria Mathews Division of Community Health and Humanities, Faculty of Medicine, Memorial University, St. John’s, NL, Canada
  • Shree Mulay Division of Community Health and Humanities, Faculty of Medicine, Memorial University, St. John’s, NL, Canada

DOI :

https://doi.org/10.7202/1058269ar

Mots-clés :

infertilité, services de fertilité, LGBT, obstacles aux soins, hétéronormativité

Langue(s) :

Anglais

Résumé

L’infertilité est souvent abordée du point de vue des couples hétérosexuels, le groupe de patients utilisant majoritairement les technologies de reproduction. Cependant, il existe de nombreux types de patients qui bénéficient de traitements de fertilité et ces patients sont souvent négligés dans les politiques, la planification, la prestation de services et la recherche. Ce commentaire démontre la nécessité d’approfondir la recherche sur les sous-groupes LGBT, lesquels se situent souvent en dehors des discours sur l’infertilité et sont donc particulièrement désavantagés par les structures actuelles des politiques et des services de fécondité.

(c) Emanuelle Dufour

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Publié

2018-07-11

Comment citer

[1]
Maxwell E, Mathews M, Mulay S. More Than a Biological Condition: The Heteronormative Framing of Infertility. Can. J. Bioeth 2018;1:63-6. https://doi.org/10.7202/1058269ar.

Numéro

Vol. 1 No. 2 (2018): Numéro hors-thème

Rubrique

Commentaires critiques

Licence

© Erika Maxwell, Maria Mathews, Shree Mulay 2018

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