Chronique du cinéma 2 : De son vivant – apprivoiser le mourir
DOI :
https://doi.org/10.7202/1101136arMots-clés :
soins palliatifs, cancer, mort, soignants, vérité, oncologie, sensLangue(s) :
FrançaisRésumé
Apprivoiser et penser le mourir par le biais du cinéma, c’est peut-être une des possibilités offertes par ce long métrage d’Emmanuelle Bercot mettant en vedette Benoît Magimel et Catherine Deneuve. Le film De son vivant aborde de manière frontale la question de la fatalité, au travers du récit de vie, et de mort, d’un jeune quadragénaire atteint d’une maladie dont le sombre pronostic ne fait aucun doute. Nous y suivons Benjamin, dans la dernière année de sa vie, alors que ce dernier affronte, l’inéluctable de sa finitude annoncée dans ce délai posé clairement : de six mois à un an. Se faisant, il se trouve plongé, ainsi que ses proches, de manière radicale, au cœur de ses questions existentielles, placé devant une série de choix qui se posent à lui, malgré – ou grâce à – la réalité de sa mort. Les nombreux enjeux éthiques rencontrés tout au long de son parcours sont exposés pour toutes les personnes impliquées : soignants, patient et proches.
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© Nathalie Plaat-Goasdoue, Jacques Quintin 2023
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