The Power of Silence

Mots-clés : éducation populaire, obligations professionnelles, désinformation, groupes marginalisés, personnes transgenres
Langue(s) : Anglais

Résumé

En conversation avec le récent essai d’Hortense Gallois sur l’importance de la participation des bioéthicien(ne)s dans la sphère publique, je suggère que prendre la parole est aussi risqué qu’important. En me concentrant sur le détournement de l’expertise par les mouvements anti-trans, je souligne la frontière délicate entre contrer la désinformation et causer du tort par cause de paroles inopportunes. À l’aide des travaux d’Eva Feder Kittay, je suggère que savoir quand s’exprimer et quand garder le silence nécessite une compréhension des communautés dont nous parlons et des conséquences que nos paroles peuvent avoir sur elles.

Publié-e
2024-03-18
Comment citer
[1]
Ashley F. The Power of Silence. Can. J. Bioeth. 2024;7:56-7. https://doi.org/10.7202/1110334ar.
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