The Power of Silence
DOI :
https://doi.org/10.7202/1110334arMots-clés :
éducation populaire, obligations professionnelles, désinformation, groupes marginalisés, personnes transgenresLangue(s) :
AnglaisRésumé
En conversation avec le récent essai d’Hortense Gallois sur l’importance de la participation des bioéthicien(ne)s dans la sphère publique, je suggère que prendre la parole est aussi risqué qu’important. En me concentrant sur le détournement de l’expertise par les mouvements anti-trans, je souligne la frontière délicate entre contrer la désinformation et causer du tort par cause de paroles inopportunes. À l’aide des travaux d’Eva Feder Kittay, je suggère que savoir quand s’exprimer et quand garder le silence nécessite une compréhension des communautés dont nous parlons et des conséquences que nos paroles peuvent avoir sur elles.
Téléchargements
Publié
Comment citer
Numéro
Rubrique
Licence
© Florence Ashley 2023
Cette œuvre est sous licence Creative Commons Attribution 4.0 International.
La Revue canadienne de bioéthique applique la Creative Commons Attribution 4.0 International License à toutes ses publications. Les auteurs conserveront leur droit d'auteur sur leur publication et ils pourront, par exemple, réutiliser leur publication, mettre un lien sur leur page d'accueil ou site web institutionnel, ou déposer un fichier PDF dans un dépôt public. Toutefois, les auteurs permettent à quiconque de télécharger, réutiliser, réimprimer, modifier, distribuer, ou copier leur publication, tant que les auteurs originaux et les sources sont cités.