Bioéthique Harlequine, servante de deux maîtres
DOI :
https://doi.org/10.7202/1089802arMots-clés :
Bioéthique, Approche basée sur l’art, Fonction dramatique, odeletLangue(s) :
Français, AnglaisRésumé
La bioéthique, tout comme la commedia dell’arte du XVIe siècle, est passée maître dans l’art de la révélation. Au cœur de celle-ci se trouve une propension à mettre en évidence que ce que nous voyons est autant véridique et élégant que fait de faux semblants et de mise en scène. Devons-nous nous persuader que ce qui est faux n’est pas faux, que ce qui est vrai est changeant et fragile? Est-ce possible de servir deux maîtres? Est-ce possible de s’en sortir sans cabrioles et sans disgrâce? L’odelette est à la fois présage cryptique du passé, du présent et du futur de la bioéthique ainsi que d’une réflexion sur la capacité du champ (et de ses acteurs et actrices) à agir comme moteur de changement social.
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© Jean-Christophe Bélisle-Pipon 2022
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