Au-delà de la bureaucratie obligatoire : comment bien travailler avec des comités d’éthique de la recherche
DOI :
https://doi.org/10.7202/1058270arMots-clés :
éthique de la recherche, CÉR, université, vision négative, mandat, chercheur, comités d’éthique de la rechercheLangue(s) :
FrançaisRésumé
Les comités d’éthique de la recherche (CÉR) universitaire, même s’ils sont bien établis en Amérique du nord depuis les années 1980, ont encore parfois mauvaise réputation au sein des chercheurs. Parfois, ils sont vus par les membres de la communauté scientifique comme un système bureaucratique voué à empêcher ou à ralentir la recherche et ne comprenant pas la réalité des chercheurs. Cette vision négative relève souvent de la mécompréhension 1) de la part des chercheurs et 2) de certains CÉR de ce qu’est le mandat d’un CÉR et de la façon dont il doit fonctionner. Fondée sur une expérience d’une présidente d’un CÉR et d’un bioéthicien, cette foire aux questions vise à démystifier l’éthique de la recherche pour que les chercheurs et les CÉR puissent collaborer dans l’avancement des connaissances, tout en assurant une conduite de recherche éthique et responsable.
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© Marie-Pierre Bousquet, Bryn Williams-Jones 2018
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