Au-delà de la bureaucratie obligatoire : comment bien travailler avec des comités d’éthique de la recherche

Auteurs-es

  • Marie-Pierre Bousquet Département d’anthropologie, Faculté des arts et sciences, Université de Montréal, Montréal, Quebec, Canada
  • Bryn Williams-Jones Programmes de bioéthique, École de santé publique de l’Université de Montréal, Montréal, Quebec, Canada

DOI :

https://doi.org/10.7202/1058270ar

Mots-clés :

éthique de la recherche, CÉR, université, vision négative, mandat, chercheur, comités d’éthique de la recherche

Langue(s) :

Français

Résumé

Les comités d’éthique de la recherche (CÉR) universitaire, même s’ils sont bien établis en Amérique du nord depuis les années 1980, ont encore parfois mauvaise réputation au sein des chercheurs. Parfois, ils sont vus par les membres de la communauté scientifique comme un système bureaucratique voué à empêcher ou à ralentir la recherche et ne comprenant pas la réalité des chercheurs. Cette vision négative relève souvent de la mécompréhension 1) de la part des chercheurs et 2) de certains CÉR de ce qu’est le mandat d’un CÉR et de la façon dont il doit fonctionner. Fondée sur une expérience d’une présidente d’un CÉR et d’un bioéthicien, cette foire aux questions vise à démystifier l’éthique de la recherche pour que les chercheurs et les CÉR puissent collaborer dans l’avancement des connaissances, tout en assurant une conduite de recherche éthique et responsable.

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Publié

2018-11-05

Comment citer

[1]
Bousquet M-P, Williams-Jones B. Au-delà de la bureaucratie obligatoire : comment bien travailler avec des comités d’éthique de la recherche. Can. J. Bioeth 2018;1:84-8. https://doi.org/10.7202/1058270ar.

Numéro

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