Why Not Advance Directives for MAID in Those with Dementia?

Auteurs-es

  • Michael Gordon Department of Medicine & Joint Centre for Bioethics, University of Toronto, Toronto, Ontario, Canada https://orcid.org/0000-0001-5198-7077

DOI :

https://doi.org/10.7202/1117879ar

Mots-clés :

directives anticipées, (ir)remédiabilité, fin de vie, AMM

Langue(s) :

Anglais

Résumé

Le nombre de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences augmente rapidement en Amérique du Nord et dans le reste du monde occidental. Dans la plupart des pays, un défi sociétal majeur consiste à fournir des soins appropriés à ces personnes ainsi qu’à leurs familles. À l’heure actuelle, en Amérique du Nord, il n’est pas possible pour une personne atteinte de démence, tout en anticipant la trajectoire déclinante de sa maladie invalidante, d’indiquer à ses mandataires spéciaux (SDM ou proxies aux États-Unis) de demander une aide médicale à mourir (AMM). C’est le cas même si, au moment de la demande, la personne est légalement capable de prendre une telle décision en utilisant les critères de l’AMM dans d’autres situations cliniques. La question est de savoir pourquoi une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’autres causes de démence ne devrait pas être en mesure d’anticiper son déclin alors qu’elle en est encore capable. Et si c’est le cas, de demander à leur décideur désigné de demander et d'obtenir l’AMM, la préférence indiquée dans une directive préalable légale.

Téléchargements

Publié

2025-04-28

Comment citer

[1]
Gordon M. Why Not Advance Directives for MAID in Those with Dementia?. Can. J. Bioeth 2025;8:149-52. https://doi.org/10.7202/1117879ar.

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